777 bloqueia o acesso às contas para potenciais compradores do Standard Liège; liminar impede bloqueio no Vasco Segunda-feira, 03/06/2024 – 13:31 Guerreiros da Colina @GdcVasco
‘Revenda do Standard: 777 bloqueia voluntariamente o acesso a contas para potenciais compradores’.
Assustador. Poderia rolar o mesmo aqui, não fosse a liminar. Os responsáveis pela venda do futebol deveriam ser CAÇADOS. Tamanho absurdo não pode passar impune!
Fonte: X Guerreiros da Colina
Irlan Simões 🏴 @IrlanSimoes
O que a reportagem diz: a empresa contratada pela 777 para encontrar compradores para seus clubes (algo revelado na quinta passada) não está agilizando o processo, mas protelando.
Por um lado se especula que isso é por receio de abrir as contas e isso ser prejudicial à 777 nessa tentativa de se salvar.
Por outro lado parece ser uma enrolação. Anunciam que vão vender os ativos para se recuperar, mas não viram para a página dois, até que se arrume outra solução.
Com isso, os clubes estarão cozinhando em banho maria.
A hipotese da reportagem (através de depoimentos de fontes) é que o anúncio de colocar os clubes à venda é uma ‘jogada de poker’, um jogo de cena.
Uma opção para esfriar as coisas, acalmar investidores e ganhar tempo para buscar alternativas.
A reportagem definiu (com base em depoimentos de fonte) o momento como uma ‘jogada de poker’ e diz que ‘americanos são bons nisso’.
A ideia é preservar os ativos enquanto se acalma os investidores e se ganha tempo para buscar alternativas.
Lembrem que a 777 Partners é um fundo de private equity.
Fonte: X do jornalista Irlan Simões/sportv
Revente du Standard : 777 bloque volontairement l’accès aux comptes pour les candidats acheteurs
“On a demande à voir les comptes de manière confidentielle, mais 777 Partners et les entreprises qui l’accompagnent dans la vente du Standard ne répondent pas”. C’est avec ces mots que l’un des candidats pour le rachat du club liégeois nous a résumé la situation. Curieux, ce témoin, qui souhaite rester anonyme, voulait avoir accès aux comptes du club liégeois pour se faire une idée sur la santé financière du matricule 16. Il est toujours sans nouvelle des Américains et n’est pas le seul. Tous les candidats seraient dans la même situation.
Nous l’annoncions la semaine dernière, le Standard est à vendre. Entre 2 et 3 candidats ont marqué leur intérêt et demandé à voir la data room : les données financières confidentielles du club. C’est une étape classique dans le cadre d’une vente qui se fait sous le sceau de la confidentialité. Cela permet aux candidats acheteurs de connaître la situation de la société qu’ils envisagent de reprendre, “savoir dans quoi on met les pieds” résume une de nos sources. Les intéressés ont fait des demandes formelles à 777 Partners et Moelis & Company, la société mandatée pour vendre les clubs de football de 777. Sauf que ces demandes sont restées sans réponse. Tous les candidats acheteurs seraient dans le même cas. Pire, le média d’investigation Josimar nous confirme que cela se passe au Standard, mais aussi dans les autres clubs de la galaxie 777, dont Genoa.
Ce blocage peut paraître surprenant, car 777 cherche des liquidités pour éviter la faillite. La vente des clubs semble urgente et pourtant, elle coince. Selon plusieurs sources distinctes, 777 Partners ferait cela volontairement. Il ne s’agirait ni d’un problème administratif, ni d’un problème technique.
Une partie de Poker où 777 bluffe
Pour la holding, c’est une partie de poker qui vient de débuter et sa stratégie repose sur un principe, celui qui régit le fonctionnement de 777 depuis des années : bluffer. Les Américains sont experts en la matière. Ici, ils essayent de faire croire qu’ils ont un bon jeu pour rassurer les investisseurs, de beaux clubs à vendre qui rapporteront beaucoup d’argent. Les Américains montrent ainsi leur volonté de s’en sortir en renflouant les caisses afin de rembourser ces mêmes investisseurs et ainsi, éviter la faillite.
si 777 montre les comptes, c’est la fin du bluff. Il avoue que sa main est extrêmement mauvaise et cela met fin à la partie
Le problème, c’est que le jeu de 777 Partners est loin d’être aussi bon qu’il le prétend. Ses clubs sont surendettés et comme le détaille Josimar pour le club italien de la Genoa, leurs situations financières sont catastrophiques. En dévoilant les comptes, 777 Partners révélerait sa main et autant dire qu’il n’a rien. Ces clubs ont peu de valeur et leur vente ne devrait pas rapporter grand-chose. Pire, cela pourrait révéler au grand jour des comptes frauduleux ou des pratiques illégales identiques à ce qu’un des investisseurs a découvert, ce qui l’a poussé à porter plainte devant la cour de New-York.
Pour résumer, si 777 montre les comptes, c’est la fin du bluff. Il avoue que sa main est extrêmement mauvaise et cela met fin à la partie. Une défaite qui risque de lui coûter sa survie tant les sommes misées sont importantes. Ceci dit, cette stratégie ne peut pas durer éternellement. 777 Partners fait illusion pour l’instant histoire de gagner du temps, mais sans changement visible d’ici quelques semaines, les investisseurs finiront par questionner le groupe américain et certains, très patients jusqu’ici, pourraient se retourner contre lui.
Steve Pasko et Josh Wander, les patrons de 777, Toujours à la manœuvre
Autre élément qui interpelle, Steve Pasko et Josh Wander, les directeurs de 777 Partners seraient toujours aux commandes. Le 6 mai dernier, ils avaient annoncé faire un pas de côté suite aux poursuites judiciaires et la nomination d’une entreprise de gestion de crise. Mais voilà, le Financial Times nous apprend que la porte-parole de 777 a déclaré récemment que “Wander et Pasko restent propriétaires de 777 Partners à 100%. Ils sont complètement dévoués pour offrir un avenir prospère à l’entreprise. Les deux hommes continuent de définir l’orientation stratégique de l’entreprise à tous niveaux, supervisant tous les changements pour renforcer la valeur de l’entreprise à long terme”. Selon Josimar, Josh Wander aurait confirmé cela lui-même lors d’une rencontre avec les membres de la BBL, la ligue anglaise de basketball dont 777 est actionnaire. L’homme fort de 777 aurait dit qu’il est “still in charge”. Traduction : je suis toujours le boss. Les deux patrons auraient donc quitté le CA de la holding américaine, mais dans les faits, c’est bien eux qui prendraient toutes les decisions.
Toujours au Standard aussi ?
Ces mêmes patrons auraient démissionné du CA du Standard. Jean-Michel Javaux, également membre du conseil d’administration du Standard, l’avait annoncé dans un post Facebook publié le 14 mai dernier. Mais 15 jours plus tard, cette démission n’est toujours pas visible au Moniteur Belge. Le Standard prend-il sont temps pour communiquer le changement ? Ou rien n’aurait changé en bord de Meuse ? Difficile à dire pour l’instant, mais le délai surprend. En attendant, le temps tourne. La préparation de la prochaine saison est déjà proche, les entraînements doivent reprendre dans une dizaine de jours. Avec quelle équipe ? Le Standard ne peut toujours pas transférer. Le club espère voir cette interdiction être levée rapidement. Il assure avoir répondu aux attentes de la commission des licences. Réponse attendue lors du prochain contrôle, le 10 juin, et selon nos informations, il annonce très scrupuleux.
Fonte: RTBF Actus
Revenda do Padrão: 777 bloqueia voluntariamente o acesso a contas para potenciais compradores
“Pedimos para ver as contas de forma confidencial, mas a 777 Partners e as empresas que a apoiaram na venda do Standard não responderam ” . Foi com estas palavras que um dos candidatos à aquisição do clube de Liège nos resumiu a situação. Curioso, esta testemunha, que deseja manter o anonimato, quis ter acesso às contas do clube de Liège para ter uma ideia da saúde financeira do número 16. Ainda não teve notícias dos americanos e não é o único . Todos os candidatos estariam na mesma situação.
Anunciamos na semana passada, o Standard está à venda . Entre 2 e 3 candidatos manifestaram interesse e pediram para ver o data room: os dados financeiros confidenciais do clube. Este é um passo clássico no contexto de uma venda realizada sob o selo de confidencialidade. Isto permite que os potenciais compradores conheçam a situação da empresa que pretendem adquirir, “saber no que nos estamos a meter”, resume uma das nossas fontes. Os interessados fizeram pedidos formais à 777 Partners e à Moelis & Company, empresa mandatada para vender os 777 clubes de futebol. Todos os potenciais compradores estariam na mesma situação. Pior ainda, o meio investigativo Josimar nos confirma que isso está acontecendo no Standard, mas também em outros clubes da galáxia 777, incluindo o Gênova.
Este bloqueio pode parecer surpreendente, porque o 777 procura liquidez para evitar a falência. A venda de clubes parece urgente, mas está estagnada. De acordo com várias fontes distintas, 777 Partners fariam isso voluntariamente. Isto não seria um problema administrativo nem um problema técnico.
Um jogo de pôquer onde 777 blefes
Para a holding, é um jogo de pôquer que está apenas começando e sua estratégia se baseia em um princípio que rege há anos o funcionamento do 777: o blefe. Os americanos são especialistas neste assunto . Aqui, eles estão tentando fazer as pessoas acreditarem que têm um bom jogo para tranquilizar os investidores, bons clubes à venda que vão render muito dinheiro. Os americanos mostram assim a sua vontade de sobreviver repondo os fundos para reembolsar esses mesmos investidores e assim evitar a falência.
se 777 mostrar as contas, o blefe acabou. Ele admite que sua mão está extremamente ruim e isso encerra o jogo
O problema é que o jogo do 777 Partners não é nem de longe tão bom quanto afirma ser. Seus clubes estão superendividados e, como detalha Josimar para o clube italiano Gênova, sua situação financeira é catastrófica. Ao revelar as contas, o 777 Partners revelaria a sua mão e poderíamos também dizer que não tem nada. Esses clubes têm pouco valor e sua venda não deverá render muito. Pior ainda, isto poderia revelar contas fraudulentas ou práticas ilegais idênticas às que um dos investidores descobriu, o que o levou a apresentar uma queixa no tribunal de Nova Iorque.
Para resumir, se 777 mostrar as contas, o bluff acabou. Ele admite que sua mão está extremamente ruim e isso encerra o jogo. Uma derrota que corre o risco de lhe custar a sobrevivência, visto que as somas apostadas são tão elevadas. Dito isto, esta estratégia não pode durar para sempre. O 777 Partners é uma ilusão de momento para ganhar tempo, mas sem mudanças visíveis dentro de algumas semanas, os investidores acabarão por questionar o grupo americano e alguns, até agora muito pacientes, poderão voltar-se contra ele.
Steve Pasko e Josh Wander, os chefes do 777, ainda em ação
Outro elemento interessante é que Steve Pasko e Josh Wander, diretores da 777 Partners, ainda estariam no comando. No dia 6 de maio, anunciaram que iriam dar um passo de lado na sequência do processo judicial e da nomeação de uma empresa de gestão de crises. Mas agora, o Financial Times diz-nos que o porta-voz da 777 declarou recentemente que “Wander e Pasko continuam a ser 100% proprietários da 777 Partners. a empresa em todos os níveis, supervisionando todas as mudanças para fortalecer o valor da empresa a longo prazo . Segundo Josimar, o próprio Josh Wander confirmou isso durante uma reunião com membros da BBL, liga inglesa de basquete da qual 777 é acionista. O homem forte do 777 teria dito que “ainda está no comando” . Tradução: ainda sou o chefe. Os dois patrões teriam, portanto, saído do conselho de administração da holding americana, mas na verdade seriam eles quem tomariam todas as decisões.
Ainda está no Standard também?
Esses mesmos patrões teriam renunciado ao conselho da Standard. Jean-Michel Javaux, também membro do conselho de administração da Standard, anunciou isso em um post no Facebook publicado em 14 de maio. Mas 15 dias depois, esta demissão ainda não é visível no Moniteur Belge. A Norma dedica tempo para comunicar a mudança? Ou nada teria mudado nas margens do Mosa? É difícil dizer no momento, mas o atraso surpreende. Enquanto isso, o tempo está correndo. A preparação para a próxima temporada já está próxima, os treinos devem ser retomados em cerca de dez dias. Com qual equipe? O Padrão ainda não pode transferir . O clube espera que esta proibição seja levantada rapidamente. Ele afirma ter atendido às expectativas da comissão de licenciamento. Resposta esperada na próxima verificação, no dia 10 de junho, e segundo nossas informações, ele anuncia com muito escrúpulo.
Fonte: RTBF Actus/Tradução Google